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 NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥

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Nikkylia S. Vodianova

 Nikkylia S. Vodianova
PINK IT'S OUR NEW OBSESSION


Messages : 435
Célébrité : Taylor Momsen.
Avatar © : © cycy-cycy
Doubles-Comptes : Epperly Donahue ; Nolan Doherty ;



Journal de Bord
Age du Personnage : Dix-sept printemps.
Patronus : Une Once, Patronus de sa défunte soeur.
Métier : Eleve


NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ Vide
MessageSujet: NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥   NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ EmptyMer 3 Aoû - 13:07


NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ Tumblr_lpbk6w4QRg1qbswhno1_500
i know it's nikky you're looking for.

♣ Nom : Vodianova
♣ Prénoms : Nikkylia Sophia
♣ Surnom : Aucun en particulier, c'est chacun comme il veut, le plus courant étant Nikky.
♣ Date de naissance : 1er Août 1981.
♣ Lieu de naissance : Gomel, Biélorussie, URSS.



NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ 95895108 NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ 34429013
Informations essentielles.


♣ Parents : Nikkylia ne connait pas ses parents biologiques ; tout ce qu'elle sait d'eux, c'est qu'ils n'étaient pas Biélorusses, ils venaient de l'Ouest de l'Europe. Anastasiya et elle ont donc été adoptées quelques temps après leur naissance par les Vodianova, famille Russe ne pouvant avoir d'enfants.
♣ Frères / Soeurs : Sa sœur jumelle, Anastasiya Katerina Vodianova est décédée il y a peu. Nikky ne se remet pas de cette perte ; Ana, de quelques minutes son aînée, était tout à la fois pour elle, sœur, meilleure amie, confidente, modèle...

♣ Descendance : Aucune encore & heureusement !


APPARENCE PHYSIQUE
♣ Taille: Relativement grande.
♣ Corpulence: Maigre ; sûrement trop depuis quelques temps.
♣ Couleur des yeux: Bleus.
♣ Couleur des cheveux: Blonds.
♣ Particularité physique: Tu peux pas test' ! -->


CARACTERE.

underco, babe ! ♥



NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ 80867651 NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ 69640791
Informations complémentaires.


♣ Baguette: Trente-et-un centimètres. Flexible.
Bois : Bois de rose.
Coeur: Cheveu de Vélane.
♣ Balai: Nimbus 2001.

♣ Maison à Poudlard : Hufflepuff ; 7th year ! ♥

♣ Patronus : Il prenait autrefois l'apparence d'un chat de race bleu Russe. Depuis la mort de sa sœur son Patronus a pris la forme que prenait celui d'Ana, une once, donc.
♣ Epouvantard : Voir le fantôme d' Ana apparaitre sous ses yeux et lui reprocher sa mort.

♣ Animal de compagnie : Un chat de race Bleu Russe répondant au nom de Zephyr !

♣ Célébrité sur l'avatar : Taylor Momsen.




Dernière édition par Nikkylia S. Vodianova le Lun 26 Sep - 18:53, édité 2 fois
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Nikkylia S. Vodianova

 Nikkylia S. Vodianova
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MessageSujet: Re: NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥   NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ EmptyMer 3 Aoû - 13:07

NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ Tumblr_lpbd83Ovzn1qmwjioo1_500
boys wanna be her. ♥

Est-ce possible de se réveiller un jour en ayant l’impression d’être une autre personne ? C’est l’impression que cela me donne moi, depuis que nos parents nous ont révélé certaines choses à Anastasiya et moi. Le comble, c’est que je n’aime pas cette personne que j’ai l’impression d’être, tout cela par la faute de nos géniteurs. A présent, j’étais encore sûre de bien peu de choses. Je m’appelais bien Nikkylia Sophia. Anastasiya était bien ma sœur jumelle. J’avais bien dix-sept ans et j’étais bien entrée en septième année à Poudlard. Cela s’arrêtait là, le reste n’était que pure fantaisie. Vodianova n’était pas mon vrai nom, en réalité, j’avais été adoptée. Je n’étais pas née à Moscou comme je l’avais toujours cru, mais à Gomel en Biélorussie. Mes parents ignorent le nom de mes parents biologiques, mais mon père était un Mangemort. Voilà à quoi se résume ma vie à présent, un paquet de mensonges, de questions qui resteront peut-être éternellement sans réponses. Et démerde toi Nikkylia. C’est injuste, de vivre avec une famille que l’on pense être la sienne, pour apprendre que finalement, notre sang est souillé par les actes noirs d’un père et peut-être ceux d’une mère. C’est injuste de penser que ceux que l’on a si souvent nommé « papa » et « maman » ne le sont finalement que par le cœur. C’est injuste de penser que l’identité que l’on s’était construite n’est somme toute qu’un tissu de mensonges. Et plus que tout, c’est injuste d’avoir à me remettre constamment en question à chaque seconde, me demander si je leur ressemble, eux qui nous ont abandonnées. La vie est tellement injuste. Cruelle aussi. Elle continue son cours sans pitié pour nous de tous les obstacles qu’elle lâche délibérément sur notre chemin ; et l’on n’a alors d’autre choix que de se relever en attendant de chuter encore. On nait, on meurt, et entre temps, quoi ? On se construit notre propre voie, qu’on arpente avec la force du désespoir priant seulement pour ne pas se perdre au détour d’un croisement. Mais voilà, je me suis perdue. Et je ne peux le raconter à personne, j’aurais trop peur de leur réaction.

Mes parents nous ont toujours dit que nous étions nées à Moscou, Ana et moi, alors puisque c’étaient nos parents, il fallait les croire, logique. Pourtant ce n’est pas le cas. Nous sommes nées à Gomel, en Biélorussie. J’ignore le nom de ma mère biologique, mais maman nous a dit qu’elle n’était pas biélorusse, qu’elle venait de l’Ouest, tout comme notre père biologique, qui lui en plus de cela, était un Mangemort. C’est à peu près tout ce que je connais d’eux, et si l’envie de savoir d’où je viens et qui je suis par mon sang ne me manque pas, j’ai bien trop peur de ce que je pourrais apprendre.

J’ai passé ma petite enfance en Russie, mais je garde peu de souvenirs de ce pays. Anastasiya et moi avons toujours été choyées par nos parents, qui ne manquaient jamais de nous répéter qu’ils nous aimaient, que nous étions le plus beau cadeau qu’il leur ait été donné et continuation. Outre cela, Ana’ et moi nous sommes toujours merveilleusement bien entendues, loin des disputes auxquelles les frères et sœurs ont souvent droit. Cela nous arrivait bien sûr, mais c’était avant tout pour nous taquiner et il nous était impossible de rester fâchées bien longtemps, inséparables comme les deux doigts de la main. Ana n’est pas seulement une sœur, c’est aussi en quelque sorte, ma meilleure amie ; c’est avec elle que je garde mes plus beaux souvenirs, mais aussi les pires des coups foireux. Si j’ai autant de mal aujourd’hui à me souvenir de notre vie à Moscou, c’est sans doute car tout était bien en ordre, tranquille, et cela aurait sans doute continué ainsi des années durant encore, si les conditions de vie dans le pays n’étaient pas devenues tant difficiles. En effet à cette période, la Russie était encore l’URSS et nous étions en période de guerre. Un jour, l’opportunité de fuir se présenta à notre famille, et papa décida de la saisir. Nous avions donc traversé l’Europe, afin de nous installer finalement en Angleterre. Ana et moi étions alors âgées de cinq ou six ans, et je me rappelle que m’adapter aux coutumes et surtout à la langue d’un nouveau pays me fut d’abord fort difficile. Aujourd’hui encore, j’ai gardé un accent russe lorsque je m’exprime, mais cela ne me dérange pas, je suis même plutôt heureuse de garder une marque de ce pays que je considère comme le mien. La vie reprit donc son cours, inchangée, laissant les années s’écouler dans un rythme irrégulier. C’est drôle, car quand je relis ce que j’avais écrit à cette époque, je me rends compte que finalement, je ressens encore les choses de la même manière ; être une Vodianova par le sang ou non, ne parviendra pas à changer ce que j’ai vécu ou ressenti.



Nineteen Ninety-two.


Ca y est ! Enfin, nous y sommes : Poudlard. Depuis longtemps je n’attendais que cela, j’avais si hâte, encore plus depuis que papa et mamans nous avaient offert nos premières baguettes à Ana’ et moi. Elle est magnifique. En bois de rose, et contient un cheveu de Vélane. J’avais si hâte de pouvoir commencer à l’utiliser, que je devais être l’une des rares élèves heureuse à l’idée de se rendre en cours. Lorsque le fameux jour était enfin arrivé, le premier septembre, nous nous étions rendues, Ana’ et moi, toujours en compagnie de papa et maman à la gare de King’s Cross sur le quai numéro neuf trois quart. Les adieux furent quelque peu difficiles ; je ne m’étais jamais séparée de mes parents pour aussi longtemps. Mais finalement j’étais si excitée d’apprendre à maîtriser la magie, que je n’en étais pas triste, et tant mieux. Beaucoup d’élèves étaient déjà dans le train et nous nous étions empressées d’y embarquer également. Certains affichaient un air perdu sur leur visage et semblaient ne connaître personne. De ce point de vue là, Ana’ et moi avions encore une fois de la chance ; ne pas connaître tout ce monde ne nous gênait en rien puisque nous étions au moins toutes les deux, mais il ne nous fut pas difficile de vite faire la connaissance d’autres jeunes de notre âge. De nature ouverte, souriante et extravertie, j’avais toujours eu le don de me faire une place dans les lieux où je me rendais. Traitez moi d’arc en ciel ou de rayon de soleil sur patte si vous le souhaitez. Le voyage et notre arrivée à Poudlard s’enchainèrent si vite, que je n’eus même pas le temps d’être effrayée à l’idée de la répartition qui nous attendait. C’était donc toujours à la manière d’une pile électrique, que j’allais poser ma tête sous le Choixpeau. « Poufsouffle » ; l’annonce de cet unique mot, me rendit euphorique. Je me dirigeais rapidement vers la table d’où provenaient les acclamations, et surtout table à laquelle Anastasiya s’était déjà assise puisque c’était là qu’elle avait été répartie. Quelques vers de la chanson d’accueil du Choixpeau me revinrent alors en mémoire : « Si à Poufsouffle vous allez, Comme eux vous s'rez juste et loyal. Ceux de Poufsouffle aiment travailler, et leur patience est proverbiale. » Un sourire naquit sur mes lèvres, je n’étais pas ce que l’on pouvait qualifier de patiente, mais le reste de l’idée me plaisait beaucoup.


Nineteen Ninety-three.


Aujourd’hui c’est le premier août ; et le premier août, c’est mon anniversaire ! Enfin notre anniversaire à Ana et moi. Papa et maman m’ont offert un magnifique cadeau, plus magnifique encore que ma baguette de l’an dernier : un chat, de race bleu russe. Je l’ai nommé Zéphyr, je ne sais pas pourquoi, mais je trouvais que cela lui allait bien. Il est si mignon ; heureusement que les chats sont autorisés à Poudlard, car je ne crois pas que j’aurais eu le courage de le quitter le mois prochain, jour pour jour, lorsqu’il faudrait reprendre le chemin de l’école. J’entrerai en deuxième année, ce qui veut dire, fini le voyage en barque pour aller au château, et surtout, fini d’être les plus petits que tout le monde aime embêter. J’ai hâte de retourner à Poudlard, même si cela signifie de reprendre les cours – qui ne sont pas si bien que cela finalement, une fois que l’on est plus excité à l’idée de se servir d’une baguette -. J’ai juste envie de revoir mes amis, surtout Fiona. On s’écrit mais ce n’est pas pareil, elle me manque beaucoup. J’aurais du demander à papa ou maman de l’inviter pendant les vacances, ils auraient sûrement accepté. Papa et maman ne nous refusent pas grand chose à Ana et moi, pourtant je n’ai jamais essayé d’en abuser, car je me dis que d’autres ont moins de chance que nous, comme nos anciens amis en Russie. Ils me manquent parfois, même si je ne les ai pas connu longtemps. Je me suis juré qu’un jour je retournerai dans ce pays, peut-être pas pour y vivre, mais j’y retournerai. J’ai laissé tous mes souvenirs d’enfance là-bas, ça me tue de les voir s’éloigner sans que je n’arrive à les rattraper. J’ai peur d’oublier totalement à quoi ça ressemblait. C’est une partie de ma vie, une partie de moi qui est restée là-bas. Je ne peux décemment pas l’abandonner.


Nineteen Ninety-five.


Il y a longtemps que je n’avais pas écrit ! Peut être était-ce car je n’avais rien d’intéressant à raconter ? Je continue mes études à Poudlard, rien de bien palpitant, et j’ai officiellement décidé que je n’aimais vraiment pas les cours. Du moins les potions ; je n’y comprends pas grand chose pour ne pas dire rien du tout, et je suis presque aussi douée qu’un ami de ma maison réussissant à faire exploser presque à chaque cours ses préparations. Enfin ce n’est pas grave, les potions ne sont de loin pas tout ce que l’on nous enseigne, mais il faut que je m’améliore si je veux obtenir une bonne note à mes B.U.S.E. Autrement, je peux dire adieu à mon ambition de devenir Auror. Vous ai-je d’ailleurs déjà parlé de cela ? Maman est Auror, et j’ai envie de suivre son chemin une fois sortie de Poudlard. Traquer les serviteurs de Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom est l’objectif que je me suis fixé. Leur façon d’agir, ou même de penser m’horripile. Surtout lorsque cela concerne les sorciers de sang-mêlé ou nés moldus. Penser que nous leur sommes inférieurs du fait de notre sang – oui, je dis nous, puisque papa est moldu, pourtant il n’empêche qu’il est une des personnes les plus géniales que je connaisse - … On ne les torture pas, on ne les tue pas, nous, les Serpentards et les Mangemorts pour le simple fait qu’ils soient stupides, même si parfois ce n’est pas l’envie qui m’en manque. Enfin ces idiots ne valent pas que j’use mon encre à parler d’eux. Le Seigneur des Ténèbres en revanche… Le professeur Dumbledore, et Harry Potter affirment qu’il est de retour ; et je ne peux que les croire, puisque Cédric Diggory en est mort. Je ne l’ai pas côtoyé personnellement, mais tous les Poufsouffles le connaissaient, davantage encore depuis qu’il participait au Tournoi des Trois Sorciers, participant ainsi à apporter la gloire à notre noble maison. Mais cela avait mal fini, et comme tous les Poufsouffles, sa mort m’avait affligée. En bref, vous l’aurez compris, je suis déterminée à réussir à tout prix. Beaucoup d’élèves ont déjà une idée de projet d’avenir : certains veulent entrer au Ministère, d’autres devenir marchands. Moi, je serai Auror. J’ai besoin de bouger, de me sentir utile dans cette guerre qui apparemment menace chaque jour d’éclater.


Nineteen Ninety-six.


Est-ce possible de se réveiller un jour en ayant l’impression d’être une autre personne ? Peut-être pas finalement ; me remémorer tous ces souvenirs me fait prendre conscience d’une chose : j’étais une Vodianova que cela soit ou non par le sang. Après tout donner la vie n’était pas si compliqué, et ce n’était pas cela qui vous donnait le titre de parents, c’était tout ce qui suivait après, tout ce que papa et maman avaient fait. Pour cela je les aimais plus que tout, et aucune histoire de sang n’y changerait rien. En vérité je me cachais simplement derrière ces excuses car la vérité était plus difficile à affronter, bien moins belle, bien plus cruelle. Je me répugnais à moi-même d’être par le sang, la fille d’ un Mangemort. J’ignorais son nom, mais je le haïssais, aussi sûrement que j’aimais mes parents. J’avais peur aussi ; peur qu’au fond je sois comme lui, et à partir de là, je jure d’étudier, je jure de travailler, je jure que je réussirai à tout prix. Je deviendrai Auror. Comme Maman. Et alors, ils verraient, tous ces salauds qui croient qui se croient permis de briser la vie de familles unies comme l’est la notre. Ils paieront pour leurs crimes. Finalement, je ne veux même pas savoir lequel d’entre eux est mon géniteur – je me refuse de dire mon père, ce n’est pas moi. Le connaître ne me servirait à rien, puisqu’au final, il mourra. Comme tous les autres. Leur sang contre celui des trop nombreuses victimes qu’ils ont déjà faites. Ce ne serait que justice, non ?


Nineteen Ninety-seven.


Je tremble. Je pleure. Tellement que je n’arrive presque pas à écrire. J’ai les idées tellement floues et confuses que je ne sais même plus ce que je dis. Finalement, je me fichais bien de mon identité, je me fichais de tout même. J’envoyais balader tout le monde, sans exception ou presque. Ce qui me restait de famille, c’est à dire, mon père adoptif, ne me reconnaissait plus. Alcool, cigarettes, drogues même, étaient devenus mon lot quotidien. Je ne l’avais pas voulu, je me détestais de tout mon être, mais je m’étais laissée entraîner, j’étais devenue accro, dépendante, et je n’avais même plus la force d’essayer de lutter. Plus personne n’était là pour me donner l’envie de chercher la lumière, d’essayer de toutes mes forces de l’apercevoir, et de m’accrocher à elle. Maman n’était plus là. Ana n’était plus là. Ma vie avait volé en éclat, par cette journée d’été, alors que toute notre famille se trouvait sur le chemin de traverse. L’endroit était peu sûr par les temps qui couraient, tout le monde le savait, mais il avait été indispensable d’y faire un tour afin d’acheter les quelques fournitures nécessaires à notre avant dernière année Poudlard. Nous étions dans un coin isolé lorsqu’un groupe de Mangemorts avait débarqué. Papa avait attrapé ma main, Maman celle d’Ana, dans l’espoir de transplaner. Papa et moi nous en étions sortis, mais pas elles, elles n’arrivaient pas, et je suffoquais, je tournais en rond en les attendant, priant silencieusement que Maman avait choisi une autre destination que la maison, et que c’était pour cela qu’elle n’était pas là, avec Ana. Mais elle ne revint pas. La réalité était tout autre, bien plus cruelle comme à son habitude. Un sortilège de mort avait percuté Maman, et incapable de transplaner d’elle-même – puisqu’elle n’était pas majeure -, Ana avait subi le même sort. J’avais passé la journée à pleurer. La nuit aussi. Et les journées et les nuits qui suivirent également. Les seules fois où je parvenais à m’endormir, mon sommeil était peuplé de cauchemars. Je revoyais la scène différemment. J’étais comme pétrifiée, je ne parvenais pas à bouger un seul muscle de mon corps. Et sous mes yeux, Ana, et Maman, se faisaient torturer par des silhouettes noires encapuchonnées et portant un masque, avant de se faire finalement achever. Les Mangemorts ne semblaient pas me voir, et je ne pouvais toujours pas bouger. J’essayais de toutes mes forces, sans résultat, il était trop tard. Je revoyais aussi le fantôme de Ana venir me reprocher sa mort. J’étais terrifiée, en larmes, je voulais hurler, mais aucun son ne sortait de ma bouche. Puis je me réveillais en sursaut, et en sueur, et je laissais les larmes couler à nouveau.

C’est lorsqu’il me fallut retrouver seule le chemin de Poudlard pour une sixième année que j’avais totalement sombrer. L’arc-en-ciel ambulant que j’avais un jour été, cette fille pleine de vitalité et de dynamisme, qui croquait la vie à pleine dents, était toujours à l’écoute des autres et ne cherchait que le côté positif de toutes choses. Cette fille la n’existait plus, Ana l’avait emportée avec elle. Ne restait plus que l’ombre de moi-même, mes cauchemars se poursuivaient, je pleurais toujours quand j’étais seule, et je me démolissais la santé avec la première merde qui me tombait sous la main. Une éternelle question me tournait dans la tête : « Pourquoi elle et pas moi ? » Me voir dans un miroir m’était devenu difficile, me dire que j’étais là, à foutre ma vie en l’air, alors qu’elle n’en avait plus, de vie, et qu’elle aurait accompli de tellement grandes choses si seulement le destin avait voulu lui la laisser ; sans compter que nos physiques similaires me rappelaient toujours à son souvenir. J’aurais aimé faire tout ce qu’elle avait voulu me voir accomplir : devenir Auror, me battre contre les forces du mal et la venger par la même occasion. Mais je m’étais enfoncée si bas que je me demandais si tout cela m’était encore possible. Ana était tellement plus douée que moi, mais elle n’étais plus là. J’étais seule et j’avais désespérément besoin d’un peu de lumière et d’oxygène. Bordel, pourquoi ne suis-je pas morte à sa place ?!


Nineteen Ninety-eight.


J’avais presque réussi à m’y faire, au fait qu’elle ne soit plus là. Presque. Je le jure. Je la pleurais encore parfois, mais c’est normal après tout, non ? En revanche, elle hantait de moins en moins mes cauchemars. Sûrement parce qu’une autre personne avait fait son apparition dans mon sommeil. Un certain blond de chez Serpentard. Vous allez sans doute me dire que c’est bien, super même et tout ça. Mais non. Un Serpentard quand même ! Et pas n’importe lequel par dessus le marché. J’avais bien choisi, il fallait que cela soit lui. Lui qui prenait un malin plaisir à m’enfoncer plus bas que je ne l’étais déjà. Lui qui me regardait me briser avec une expression de totale indifférence peinte sur le visage. Il n’y a pas à dire, Nikkylia, tu es vraiment douée pour enchaîner les coups foireux. Pire, je dois avoir un don, c’est la seule explication. Mais je n’y pouvais rien, quoi que je fasse son nom venait s’inscrire dans mon esprit dès que je fermais les paupières. Ca, c’était au début. Et puis je me suis prise à l’observer à la dérobée. Je voulais voir à quoi ressemblait son sourire puisqu’il ne m’en offrirait jamais. Je voulais voir de quelle manière s’illuminaient ses yeux lorsqu’on lui annonçait une bonne nouvelle. Ce genre de choses, vous voyez ? A partir de là, j’allais de mal en pire, comme si toute la culpabilité du monde venait de se déverser sur mes épaules. Ce n’était pas le fait d’être amoureuse, en soi – puisque oui, je l’étais amoureuse, pour mon plus grand déplaisir. C’était le fait de l’être de lui. Il représentait tout ce que j’avais toujours haï. Ce pour quoi j’avais longtemps persévéré à obtenir des notes acceptables. Ce que j’avais envie de démolir une fois sortie de Poudlard. Je me suis détestée, pour ça.

Et puis il y a eu cette foutue soirée dans la salle sur demande. Non, pas une fête, loin de là. Simplement, je m’étais encore une fois traînée là-bas afin de m’employer à foutre ma vie en l’air. J’étais assez douée pour ça il faut dire. J’avais eu un bon professeur… En bref, j’étais assise contre un mur, mes petites affaires autour de moi, lorsqu’il était arrivé. Je ne l’avais pas entendu absorbée comme je l’avais été par mes pensées. Une sorte de lutte intérieure. Mon corps réclamait sa dose, mais mon esprit avait résolu de ne pas se laisser aller. Je n’aurais pas eu la force de tenir bien longtemps s’il ne s’était pas mis à parler. Je ne me rappelle plus de ses paroles, mais ce dont je me souviens en revanche, c’est de moi m’écroulant en larmes dans ses bras lorsqu’il s’était installé à mon côté. Ridicule. Pire, pathétique. Sauf qu’au lieu de me rejeter, il m’avait serrée contre lui. Et alors, je n’avais pas pu m’en empêcher, je l’ai embrassé. Ce n’était pas ma faute, il faut dire que son visage s’était retrouvé à quelques centimètres du mien quand j’avais relevé les yeux vers lui. Forcément, je n’ai pas pris le temps de réfléchir, encore moins tenté de résister. Je l’ai embrassé. Comme ça. Il fallait bien que je le fasse un jour, avant de crever, voir ce que ça me ferait. C’était une sensation agréable, sûrement parce que, contrairement à ce que je croyais, il ne m’avait pas repoussée mais il y avait répondu au baiser. Le cœur qui bat. L’estomac qui fait des montagnes russes. Le reste du monde qui cesse d’exister. Il n’y avait plus que nous deux. Bastian Krüger et Nikkylia Vodianova.

Je commençais enfin à croire que tout irait mieux, que j’avais trouvé une nouvelle raison de m’émerveiller chaque matin du soleil levant, une bouffée d’oxygène à inspirer pour rester vivante. Ce fut le cas, pendant un temps. Cette histoire n’était restée qu’entre nous, certes, et il m’arrivait parfois de me demander si je n’avais pas tout imaginé. Mais un regard brillant qu’il me lançait, ou un sourire m’étant bel et bien adressé finissaient toujours par me rassurer. Je pensais que j’étais en train de faire mon deuil doucement, que je retrouvais ma joie de vivre. Mais ce n’était pas si simple. D’abord parce que la plupart de mes soit disant amis me semblaient à présent insignifiants, après toutes les épreuves que j’avais été contrainte de traverser. Et puis, parce que, quoi je fasse ou que je dise, je m’étais enfoncée dans des abysses dont on ne sortait pas facilement, à supposer que l’on en sorte un jour. Tant qu’il était là, ce n’était pas grave après tout. C’était même bien. Comme le jour de cette fête que Lukas avait organisée. Ca faisait longtemps que je ne m’étais pas réellement amusée. En réalité, la dernière fois devait remonter à notre fête improvisée dans les toilettes à Mimi. Le jours où je lui avais fait prendre une douche improvisée et bousillé son tee shirt. Enfin, il ne pouvait pas m’en vouloir Luke. Il me pardonnait presque tout. Surtout quand je lui offrais des cadeaux cool comme Kiriku pour m’excuser. Kiriku, c’était une tortue. Je lui avait offerte emballée dans un ruban rose le jour de la fameuse fête. Il avait adoré. Et j’en étais réellement heureuse. Mais ce n’était pas ce qui était arrivé de mieux durant la soirée. Ce n’avait pas été la musique, ni même le bar, encore moins le fait que Lukas soit gay et qu'il soit sorti avec Walker – ça fait un choc au début mais on s’y fait ! Non, le mieux ça avait été que Bastian soit là. Bastian, vous imaginez ? Et si on lui demandait pourquoi il tenait ma main dans la sienne, il osait répondre que j’étais sa petite amie. SA PETITE AMIE ! Ah ah ! Tout est bien qui finit bien, dans le meilleur des mondes ! Ou pas.

La fin de l’année était arrivée. La dernière pour certains, dont Bastian pour ne citer qu’un exemple. Du moins c’est ce que j’avais cru, et cela m’avait suffi pour péter les plombs. Enfin non, mais cela y avait fortement contribué. C’était au tout début des vacances d’été. Le jour de l’anniversaire de la mort d’Ana et de maman. Un an, jour pour jour, qu’elle avaient quitté ce monde, me laissant seul avec mon père adoptif, moldu de surcroit et qui n’était même plus capable de s’occuper de moi. Il faut dire que je ne lui facilitais pas la tâche. J’avais refusé de lui parler ce jour là, ne prononçant pas un seul mot. Les journées que l’on passait ensemble se résumaient souvent à cela, mais ce jour là était… particulier. Et je ne supportais pas la tristesse dans ses yeux et ses piètres tentatives d’égayer l’atmosphère. Je m’étais enfermée dans ma chambre, tremblante, en manque, détruite. Le souvenir d’Ana était plus présent que jamais, me rendant complètement folle. La seule personne au monde capable de m’empêcher de faire une connerie allait sans doute rapidement m’oublier au profit d’une belle fille bien comme il faut dès son entrée dans le monde adulte. J’avais craqué, pris une dose, puis deux, trois… trop. Je ne me rappelle pas de la suite. Mes médecins m’ont dit que j’avais fait une overdose lorsque je m’étais réveillée dans un lit blanc d’hôpital. Papa était là, détruit lui aussi. Tellement triste qu’il n’arrivait pas à être en colère. Et pourtant je pouvais lire dans ses yeux que quelque chose s’était définitivement brisé entre nous. Une histoire de confiance ou de fierté sans doute, puisqu’au final il ne pouvait pas s’empêcher de m’aimer. Pas que je sois awesome… mais en fait si, quand je me donnais du mal. Et présentement, ce n’était pas vraiment le cas. J’aurais voulu crever. Je l’ai souhaité, très fort, pendant les deux mois qui ont suivi. Deux mois pendant lesquels mes tremblements s’intensifiaient, le moindre mouvement m’arrachant une grimace douloureuse. Oui, je l’ai souhaité, mourir et en finir avec cette vie qui n’en valait plus la peine. Je ne voulais pas retourner à Poudlard et affronter tous leurs regards sans Bastian pour m’appuyer. Je l’avais déjà fait. Mais c’était une habitude vite prise et difficile à perdre. Ces deux mois, je me les rappellerai toute ma vie. Je n’avais été qu’une loque, l’ombre de moi-même, de celle que j’avais un jour été, ayant même parfois du mal à me rappeler ce que j’avais pu être justement. Et je me sentais coupable. Coupable de mon comportement égoïste, parce que plutôt que de penser à Lukas qui n’avait pas le moral et à qui j’avais promis d’écrire je ne pensais qu’à m’apitoyer sur mon sort. Ca craignait, vraiment. Et puis peu avant septembre les choses avaient commencé à s’arranger. Je commençais à apercevoir la lumière, à me dire que je sortirai de cette abysse sans fin, que plus jamais je n’y retournerai. Au fond, bien que cet été ait été le moment le plus éprouvant de ma vie, il m’avait fait du bien. Je n’allais pas mieux. Toujours détruite à l’idée de ne pas voir Bastian, à l’idée qu’une année était passée depuis la dernière fois où j’avais vu le visage d’Ana, visage que je ne reverrai jamais. Mais au moins, je n’avais plus besoin de me droguer pour vivre avec ça. Et c’était un bon pas en avant.

Le temps était venu de retourner à Poudlard. Pour la dernière fois. Cette idée me réjouissait autant qu’elle m’effrayait. J’avais plus que hâte de quitter l’école que j’associais à de mauvais souvenirs, mais en même temps cette idée me terrorisait. Heureusement, je n’avais pas eu le temps de m’y attarder puisque Lukas me tomba immédiatement dessus l’air totalement paniqué puisque je n’avais absolument pas tenu mes promesses de l’été. Je lui avais alors tout raconté. Il n’était pas mon meilleur ami pour rien, s’il y avait une personne sur laquelle je pouvais compter dans cette période difficile, c’était bien lui. D’autant plus que Bastian était là. Oui, il était là. Super ! Génial ! Sortez les banderoles tous ! … Et bah non ! Il m’évite, ne m’accorde même plus un regard. Finie notre belle histoire apparemment. A croire que j’avais la peste. Je lui en voulais, de ne même pas avoir le cran de me donner une explication. Qu’est-ce que je lui avais fait pour mériter cela ? Plus assez jolie ? Plus assez bien ? Plus assez digne de partager son quotidien, c’était ça ? J’aurais pu aller le voir, lui demander des explications… mais je n’avais pas le courage. La vérité, bien que j’étais trop fière pour l’admettre, c’est qu’il me faisait souffrir, aussi sûrement que s’il avait eu mon cœur en main et qu’il l’avait envoyé se faire briser en mille morceau sur le sol quelques mètres plus loin. Ce qu’il avait fait en fait. Et j’avais l’impression d’être des mois plus tôt, à le détester autant que je l’aimais alors que lui ne m’offrait que son visage indifférent. J’avais failli resombrer. Pire j’en avais eu envie. C’était pas si mal au final de se sentir planer, plus haut que tout le monde, plus haut même que les problèmes qui ne se résumaient alors plus qu’à de petites tâches insignifiantes. La seule chose qui me retenait, c’était Lukas. Lukas et la manière dont on se remontait tant bien que mal le moral. Surtout mal en fait puisqu’aucun de nous ne semblait apte à guérir de ses stupides peines de cœur. Alors on se convainquait qu’ils en valaient pas la peine, qu’on était mieux sans eux. Mais qui parvenait-on à tromper ? Tout le monde. Sauf nous même. Bien.


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MessageSujet: Re: NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥   NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ EmptyMer 3 Aoû - 13:09

Re-Bienvenue red

Alors ? Encore craquée ? red
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MessageSujet: Re: NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥   NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ EmptyMer 3 Aoû - 13:09

NIKKY EN BLONDE C'EST KIFFANT ! darkred
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MessageSujet: Re: NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥   NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ EmptyMer 3 Aoû - 13:11

han Nikky darkred C'était le titre de ma fiche pour Lizzie emu ça va me rendre nostalgique uh bob boulet
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MessageSujet: Re: NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥   NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ EmptyMer 3 Aoû - 13:13

Ouais mais nan elle c'était obligé. Et toi t'en as trois tu peux parler ! Je ne suis qu'à deux. Pour l'instant. cours

OUAIS JE TROUVE AUSSI ! darkred
NIKKY IS BACK ! emu

Haaan ah booon ? darkred JE VAIS TE HARCELER JUSQU'A CE QUE TU LA RAMENES ! uh


Dernière édition par Nikkylia S. Vodianova le Dim 7 Aoû - 16:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥   NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ EmptyMer 3 Aoû - 13:16

MOMSEEEEEEEEEEEEEEEEEEN affraid audrey bisous
Très bon choix d'avatar (a) Il nous faudra un lien *o* et avec Calvin aussi voixmale
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MessageSujet: Re: NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥   NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ EmptyMer 3 Aoû - 13:17

NANAN JE VEUX PAS DE LIEN AVEC CALVIN ! uh cours
Of course Linda ! emu darkred

Manque plus qu'une âme charitable... :angel:
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MessageSujet: Re: NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥   NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ EmptyMer 3 Aoû - 13:18

Je ne suis pas charitable, faut me payer uh
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MessageSujet: Re: NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥   NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ EmptyMer 3 Aoû - 13:20

J'ai pas d'argent. uh cours
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MessageSujet: Re: NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥   NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ EmptyMer 3 Aoû - 13:26

Nature uh geo
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MessageSujet: Re: NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥   NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ EmptyMer 3 Aoû - 13:40

TU VEUX DE L'HERBE C'EST CA ? -->
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Richard D. Rahl

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MessageSujet: Re: NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥   NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ EmptyMer 3 Aoû - 13:42

Bon je te montre la sortie uh
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MessageSujet: Re: NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥   NIKKY ❣ boys wanna be her. ♥ EmptyMer 3 Aoû - 13:43

POUR QUE J'AILLE CHERCHER DE L'HERBE DEHORS ?? Bah je préférerai rester dedans en fait parce qu'il pleut. Alors l'herbe elle sera mouillée. Et moi aussi ! Et j'aime pas être mouillée !lucain
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