Sujet: Psamathé ∆ You’re just there, in that moment, in that special place and time. Ven 5 Aoû - 16:00
Présentation de N. Psamathé-Pia Turpin
♦ Nom : Turpin, famille de sorcier plutôt peu connus et je vais vous avouer que ce n'est pas plus mal.
♦ Prénom(s) : Je m'appelle Niobé Psamathé-Pia, si on ne comprend pas que mes parents aimaient les prénoms antiques...
♦ Surnom(s) : Mon nom de scène était Pandore, mais pour les intimes on m'appelle Io ou Pia. Après il y a plus intime encore, mais ça, je ne vous dirais pas.
♦ Date de Naissance : Je suis née le 5 aout 1968, j'ai trente ans aujourd'hui.
♦ Lieu de naissance : Je suis née dans un hôpital moldue à Londres, mes parents voulez m'avoir chez eux ou à St Mangouste, mais je suis arrivée plutôt que prévue.
Dernière édition par N. Psamathé-Pia Turpin le Sam 13 Aoû - 10:07, édité 6 fois
Sujet: Re: Psamathé ∆ You’re just there, in that moment, in that special place and time. Ven 5 Aoû - 16:00
Informations essentielles.
♦ Liens de parenté divers : Mes parents sont morts et les quelques liens que j'avais avec le reste de la famille, je les ai coupés. Mon ancienne vie le voulait ainsi.
♦ Histoire : Un minimum de dix lignes complètes
« On m'a dit que du bien de vous, ma chère Pandore. Et je dois dire que je suis très satisfait du résultat et que ce qu'on raconte sur vous est peu comparé à ce que j'ai pu constater. » Je regardais l'homme, un riche moldu véreux, imperturbable, j'avais fait le contrat, l'homme était mort, la femme aussi et les enfants... en sécurité, je n'avais pu me résoudre à tuer des enfants... J'avais mis le feu à la maison et j'avais fait disparaître les corps. Les enfants étaient chez une de mes connaissances, je savais que je pouvais avoir confiance en lui. J'avais dit à l'homme que tout le monde était mort. Il y croyait, c'était le principal. Moi qui m'était cru froide et capable de tout, lorsque j'avais vu les photos des enfants... J'avais transplanée en les tenants dans mes bras jusqu'à la maison de mon ami. Il les avait pris sans poser de questions et j'étais repartie. Un sort de sourdine autour de la maison pour que personne ne les entende, un peu de torture puis une fois l'information récupérée, une balle entre les yeux, la maison qui explose mystérieusement et les corps disparus. Il était quasiment impossible que la police moldu me retrouve et comme je n'utilisais pas vraiment de sort, la police magique ne me trouvait pas non plus. L'homme reprit d'une voix plus sérieuse, qui n'annonçait rien de bon. « Maintenant que vous avez effectué le contrat et que vous m'avez ramené l'information, je n'ai pas d'autre choix que de vous tuer... » À cet instant là, des gorilles sortirent de l'ombre et s'attaquèrent à moi, j'esquivais et en tué un avant de m'échapper. Une fois à l'abri des regards, je transplanais. À partir de ce jour, je savais que je devais me cacher et faire attention. Ce que je ne savais pas encore, c'est que le moldu n'était pas inconscient du monde magique et que des sorciers me cherchaient aussi. Je me suis retrouvée à fuir, personne dans le métier ne connaissait mon visage, personne n'avait jamais vu son mon masque... Comme tout le monde, j'étais au courant que le Lord avait été battu et que Poudlard cherchait de nouveaux professeurs. Poudlard avait fait partit de ma vie, je savais que j'y serais en sécurité. Je m'étais donc proposé en tant que professeur de DCFM, le professeur McGonagal se souvenait de moi et de mes capacités, elle m'avait engagé. Tout le monde se souvenait de ma septième année, lorsque j'étais rentrée chez moi et que j'avais découvert mes parents morts, tués par on ne sait qui, tout le monde se souvenait de l'histoire, de toute l'horreur de l'assassinat. J'avais été dévastée, mais j'avais fait face, on s'était demandé si c'était normal... Bien sûr que ce n'était pas normal, mais que pouvais-je faire à cet âge-là ? Attendre que la douleur passe, mais elle n'était toujours pas partis, encrée dans ma tête, la scène, les corps... Il s'en était passé des choses depuis l'obtention de mon diplôme. Je ne savais même plus comment j'avais commencé à mener ma double-vie, mais dès le début, j'avais su qu'il ne fallait pas qu'on me reconnaisse, qu'il fallait que j'invente une autre personne, peut-être même que cela avait été fait inconsciemment, un cas de schizophrénie, peut-être... Étais-je schizophrène ? Je n'avais jamais réussi à répondre à la question, mais pour moi je ne l'étais pas, je me souvenais de toutes les fois où j'avais mis mon masque et où j'avais tué ou torturé... La double-vie permettait des choses que je ne faisais pas dans ma vraie identité, les sorciers me prenait pour une sans emplois qui vivait de la fortune hérité de ses parents, une riche bourgeoise de l'aristocratie magique Anglaise... Les moldus me prenait pour une riche qui faisait des dépôt d'argent dans son coffre. La vie était ainsi, on ne cherchait pas à savoir où j'avais eu l'argent, tant que je l'entretenais et puis il suffisait de jeter un sort et les gens ne se souvenaient pas. Alors que je me rendais sur le chemin de traverse, allant dans l'allée des embrumes pour certaines raisons que je n'évoquerais pas ici, je tombais nez-à-nez avec un homme que j'avais bien connus le temps d'une semaine ou deux. Lui, il ne savait pas qui j'étais, mais moi je me souvenais de tout. Nous avions eu un contrat chacun de notre côté qui s'était avéré être le même et une embuscade par-dessus le marché. Nous avions réussi à nous en sortir, mais nous étions blessés, plus à même de transplanée, nous nous étions retrouvée dans une vieille maison qui faisait partit de mon passé profond. Celle-ci était abandonné, en ruines, mais j'y cachais des vivres et de quoi faire les premiers soins. Nous nous étions soignés mutuellement, je n'ai jamais enlevé mon masque... Nous avons discuté, j'essayais d'être la plus sincère possible sans forcément me dévoiler, il s'est avéré être quelqu'un d'intéressant, pas seulement tueur, un peu comme moi. Il me parla de sa panthère, je lui parlais de mon ocelot. Être enfermé sans rien pouvoir faire, en compagnie d'un homme, au bout d'un moment, il ne faut pas se leurrer, une sorte de désir s'est installé, une envie mutuelle de l'autre. Nous avons passé un long moment à s'envoyer en l'air, sans pour autant montrer mon visage. J'aimais la situation, il ne cherchait pas à savoir, comprenant peut-être que je tenais à mon anonymat. Nous nous connaissions sans nous connaître... J'étais revenu dans l'allée des embrumes, sortant du souvenir de cette semaine-là, il avait les yeux posés sur moi, je lui avais souri, comme si de rien était. Me reconnaitrait-il ? J'étais entrée dans sa boutique, me présentant comme professeur de DCFM, je lui disais que je voulais m'informer de ce qui se faisait aujourd'hui, afin de pouvoir enseigner à mes élèves les nouvelles techniques... Nous parlâmes comme si cela faisait des années que nous nous connaissions, c'était toujours aussi étrange de savoir qui il était sans qu'il ne sache qui j'étais moi-même. Vers la fin de la journée, je rentrais à Poudlard, lui demandant si je pourrais repasser. Je voulais qu'il puisse découvrir l'autre moi, celle que j'étais en ce moment, mais c'était risqué, il pouvait très bien être au service de la personne qui en voulait à ma vie... Je retournais à Poudlard, légèrement angoissée à l'idée que quelqu'un me retrouve ici... Je ne voulais pas qu'on sache pour Pandore, pour mon autre moi et quelque chose m'attirait plus dans le Professorat, serait-ce la fin de ma double-vie, allais-je enfin pouvoir passer à autre chose?
♦ Caractère du personnage : De nature très douce et calme, Psamathé est passé à la tueuse froide et imperturbable. Qu'est-ce qui a entrainé un changement pareil ? Nul ne le sait, surement un problème lié à sa vie, le décès brutale de ses parents assassinés ou encore une volonté d'être traité différemment que la petite fille fragile... Quoi qu'il en soit, l'enfant émerveillée, gentille, calme, studieuse, elle a bel et bien disparus, laissant place à une toute nouvelle femme. Méthodique, froide, imperturbable, professionnelle et plutôt mangeuse d'homme. Elle sait qu'elle plait et qu'elle attire, elle s'en sert. Certains l'on appelle la Veuve Noire, mais elle est plus connus sous le pseudonyme de Pandore... Depuis le début de l'année cependant, elle a laissé son caractère de tueuse de côté et sa double identité pour endosser les traits d'une professeur de Défense Contre les Forces du Mal, sociale, souriante, séductrice, mais aussi et surtout douée dans la matière et qui porte un intérêt particulier aux élèves, tentant de faire réussir autant les bons que les mauvais.
Dernière édition par N. Psamathé-Pia Turpin le Sam 13 Aoû - 10:36, édité 19 fois
Sujet: Re: Psamathé ∆ You’re just there, in that moment, in that special place and time. Ven 5 Aoû - 16:00
Informations complémentaires.
♦ Maison à Poudlard : Gryffondor, j'avais les qualités requises.
♦ Métier : Assassin puis Professeur de Défense Contre les Forces du Mal à Poudlard.
♦ Patronus : Un Abraxans.
♦ Épouvantard : La mort.
♦ Baguette : Bois d'aubépine avec un cheveux de vélane dedans, trente-cinq centimètre exactement.
♦ Signe distinctif particulier ? Lorsque j'étais assassin, je portais une sorte de masque qui me cachait les yeux. Maintenant que je suis professeur, je porte des robes de sorciers qui ne ressemblent pas à des robes de sorciers. J'ai toujours la même démarche féline.
♦ Animal de compagnie : Une femelle Ocelot du nom de Gaïa.
Dernière édition par N. Psamathé-Pia Turpin le Sam 6 Aoû - 9:52, édité 11 fois